aprés plus d'une semaine à Ranomafana

Bonjour à tous Si dessous vous trouverez deux messages contenant 1 power point, désolé pour le second. Après plus d’une semaine à ValBio (station de valorisation de la biodiversité, un nom ambitieux qui a le mérite de l’être et le vaut bien,e n effet les recherche qu’ils mènent sont multifactoriels et certainement très utiles à une meilleurs gestion du parc). Mon installation fut excellente, et comme je le dis plus bas, on se sent bien à val bio. En ce moment l’équipe allemande sur les batraciens occupe une grande part du labo et des discussions autours des dîners mais c’est très épanouissant, et puis j’espère que cela améliorera mon anglais. Le « co directeur «  de la station et anglais et bavard comme pas deux, quand il vous parle il ne vous ache plus, et il se fiche pas mal de savoir si vous comprenez ou non ce qu’il vous raconte, je m’efforce de comprendre et je me dit que c’est toujours bien pour mon anglais. Nous sommes arrivé à val bio mercredi 28 février. La première semaine fut tranquille. Visite de la foret (balade de deux petites heures). Sensibilisation et apprivoisement des sangsue (cf photo), rencontre des autres chercheurs. Le samedi nous somme tout de même allé en foret 5 H marché sur les pentes abruptes de la foret humide semi montagnarde. Ca nous a bien crevé, et one tit bien déçu car nous n’avons pas trouvé le moindre lémurien. Dimanche repos (pas mérité du fait qu’on avait pas bossé mais bon repos tout de même) et le lundi il y avait le workshop de Miguel l’allemand su les grenouille et têtard de Madagascar très intéressant (voir le post plus bas). Si bien que nous n’avons commencé à travaillé que mardi réellement, et encore, 8 h en foret mais toujours sans voir la trace du moindre lémurien (je veux dire p edwardsi, nous en avons vu d’autre). Mais bon 8 h à chercher c’est 8 h à marcher, même si c’est pas très vite, on a vite compris que cette année allée être sportive, et puis les guides qui nous accompagnent ne sont pas les derniers à crapahuter à toute allure. Mercredi nous avons donc décidé  d’employer les « grand moyens » et d’utiliser la radio pour localiser nos chers amis. Nous avons donc enfin vu la tête des gentils propithéques, pas très longtemps, juste 3 h le temps de les perdre a nouveau, et donc de devoir utiliser la radio jeudi pour les localiser à nouveau. Ils sont totalement en dehors de leur territoire habituel et surtout très loin de tout chemin tracé, c’est ça l’aventure, mais quand la pente est raide est boueuse, suivre un animal qui peut faire des bond de plus de 10 m d’arbre en arbre et qui enchaîne une bonne dizaine de bond deviens très délicat. Ajouté à cela les sangsues qui arrive au rythme de 2 par minutes environ sur vos chaussettes et vous avez le tableau du boulot. Evidement c’est génial de voir les lémuriens bailler, se groumer, etc.. Mais il y a toujours les partis pénibles. Vendredi nous avons observé 6 marquages avec vololona (la thésarde malgache). Lucy n’a vraiment pas de chance quand c’est moi qui enregistre les vocalises et elle qui prend des donné sur le marquage il cri et quand c’est l’inverse ils marquent, ce qui fait qu’elle n’a aucunes donnée pour le moment, mais ça viendra, our couronner sa male chance elle a chopé une sangsue dans l’œil hier Ct assez impressionnant et elle a l’œil bien rouge aujourd’hui. Les marquages son de trois types anogenitaux, avec la poitrine ou les deux combiné, et erik s’intéresse également a une autre forme de marquage, une forme visuel appelé gouge, quand l’animal mort ‘arbre souvent avant de marquer avec ses glande de la poitrine. On ne sait pas encore la fonction de ce gouge, j’espère qu’on va en savoir plus cette année… Les propithécus edwardsi, comme les indri sur les photo album 2 se tiennent en tailleur et quand il saute leur pattes se détendent comme des grenouilles c’est excellent a voir, et c’est très efficace surtout.  Ils ont vraiment une anatomie arboricole. Cette semaine nous irons dans une autre réserve, a ialatsara, c’est au nord de ambouhimatsoa, c’est pas un parc national, mais je crois une réserve privée. On y va pour enregistrer le son des propithéque parce que voilà il squattent prêt d’une cascade alors pour faire pire comme bruit de fond il faut se lever de bonne heure, tant est si bien que sur les sonagramme on a une bande noire tout du long qui empêche de voir la structure des sons émis. Pendant cette semaine je ne serait donc plus sus tente, par contre plus d’eau chaude ni d’électricité, chaque station de recherche a ses avantages et ses inconvénients. En plus à Ialatsara les arbres sont plus petit et les groupes plus denses, donc on observe les animaux de plus prêt et donc pour les enregistrement c’est l’idéal. Je vais m’arrêter la , certain demande des posts court, c’est très dur quand on ne viens sur Internet que toutes les deux semaines. Je vous laisse et peut être au WE prochain si je repasse par Internet en allant de ialatsara a ranomafana. Merci a vous de m’être fidèle

Comments

[Sylvette]

Je viens grace à Marie d'apprendre que la vie aventureuse t'a encore happé !
C'est bien sympa d'avoir de tyes nouvelles comme cela et j'espère que j'aurais le temps (et la connexion, à Avignon aussi ça rame...)pour aller voir ton blog quelquefois.
Moi je reviens du Vietnam où j'ai fait des interv en communication et en formation de formateurs avec l'ISTS dans le cadre d'un projet FSP et de l'aide au développement culturel. Ce fut un bonheur et j'y retourne sans doute en mai. Caroline sera aussi du voyage ainsi que Claude, mais lui y va 10 jours par mois mini depuis octobre sur les deux projets qu'il gère là-bas.
Bon je te reteins pas mais te fais de gros bisous.
Sylvette

[Sylvain(master!)]

Dis donc c le bordel ce blog j'y comprend absolument rien genre l'ordre chronologique et tout et tout!

Bon ça se passe bien ou bien ?